La famille Bardin est une de celles que j'ai le moins étudiée. C'est celle de nôtre ancêtre Nelly Bardin (1882-1962) [11]. Néanmoins, profitant d'un voyage à Briançon, il nous a suffi de faire un petit détour pour photographier la tombe des Bardin dont je ne possédais aucune photo. Cela m'a permis de compléter mon recensement des tombes de la famille (cliquez-ici).
C'est une des tombes impressionnantes du cimetière de Charavines, celle que l'on voit à gauche sur cette photo. La tombe de droite est celle de la famille de Montgolfier, une des branches de cette prolifique famille qui s'est implantée à Charavines, dans l'industrie papetière. Comme on le voit par la comparaison des tombes, la hiérarchie sociale est respectée.
Comme les tombes de la famille au cimetière Saint-Roch de Grenoble, elle se présente sous forme d'un "mur" portant le nom des nombreuses personnes inhumées, 22 personnes en l'occurrence, depuis le premier enterré, Jean-Baptiste Bardin, en janvier 1856, jusqu'à Hélène Bardin qui y repose depuis janvier 2015. On y trouve donc un arrière-grand-père d'une de nos arrière-grands-mères, Jean-Baptiste Bardin (1775-1865) [88], puis les deux générations suivantes : Élisée Bardin (1810-1866) [44] et son épouse Marie Lombard (1814-1889) [45], leurs fils Marc Bardin (1845-1926) [22] et son épouse Maria Froment (1847-1926) [23]. L'épouse de Jean-Baptiste Bardin, Alexandrine Buisson (1788-1834) [89] est absente de cette tombe.
Dans ce cimetière, on trouve aussi la tombe de la famille Bret, qui s'est plusieurs fois alliée à la famille Bardin :
La tombe de la famille Monin, qui est liée à la famille Bardin par Eulalie Bardin (1826-1894), fille de Jean-Baptiste Bardin :
Il y a probablement d'autres tombes de cousins dans ce cimetière.
Cela a ensuite été l'occasion d'aller à Louisias, un hameau de Charavines, voir la maison familiale des Bardin (de mémoire, elle serait dans la famille depuis au moins le XVIIe siècle) :
et la grange attenante, qui est un des plus beaux exemples de l'architecture traditionnelle du Pays Voironnais, avec son architecture en pisé et son toit de chaume. L’ensemble appartient encore à la famille Bardin. Elle aurait été construite en 1805, soit à l'époque de Jean-Baptiste Bardin et de son père Guillaume Prieur-Bardin, le premier Bardin qui s'est installé à Louisias par mariage.
Généalogie ascendante et descendante de Jean-Baptiste Bardin : cliquez-ici.
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